Black lives matters
- Paciphaée R.
- 3 juin 2020
- 1 min de lecture
Ce qui se passe aux États-Unis, c’est une guerre. Une guerre où plusieurs crient et protestent pour qu’on les entendent. Une guerre où “les agents de la paix” ont le plus de blessés à leurs actifs. Une guerre où même la liberté de presse n’est pas respectée. Vous savez le nombre de guerres qui interdisent la couverture des médias? Peu, très peu. Pourquoi? Parce s’ils empêchent les médias, on peu juste comprendre qu’ils ont quelque chose à cacher, qu’ils sont coupables. Et c’est ce que je comprends, ils sont coupables. Coupables de racisme, coupable d’abus de pouvoir, coupable d’avoir tué pas un, mais plusieurs hommes et femmes sans défenses.
Il faut que ça soit possible d’arrêter de dire black lives matters, racisme, brutalité policière. Ce devrait seulement être dans nos livres d’histoire.
La couleur de peau n’est pas un indicatif de qui nous sommes, ou de ce que nous valons.
La couleur de peau n’est pas un indicatif.





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